Mercedes-Benz: Le Pire Sinon Rien - Découvrez ce que Mercedes-Benz France veut vous cacher

Les faits

Je partage l'information, parce que le web est un vecteur de justice sociale!

Imaginez, imaginez un instant que vous êtes un ouvrier, mécanicien, et que vous commencez à travailler pour une filiale Mercedes-Benz France. Vous avez l’expérience de la marque et du métier, et vous découvrez une nouvelle région suite à un déménagement. Au départ, tout a l’air de se dérouler de manière normale.

Mais au fil des mois et des années l’étau se resserre sur vous, le responsable passe des pressions malsaines à la malveillance manifeste. L’inacceptable est devenu votre quotidien, et vous n’avez pas d’autre choix que de supporter par habitude et par obligation, parce qu’il faut bien nourrir votre famille. Le responsable qui vous avait embauché a élevé le harcèlement en méthode de management, faisant de votre vie un véritable cauchemar du matin au soir et du soir au matin.

Harcèlement: comment tout a commencé

Vous faites chier tout le monde ici!

La triple sanction: temps de travail supplémentaire pendant le temps de pause, non payé et qui annule la prime!

Le responsable agresse verbalement le salarié durant sa pause, il vient lui hurler dessus pendant qu’il est en train de manger!

Le salarié se fait hurler dessus pour avoir demandé à ne pas recevoir de SMS en dehors des heures de travail

Les sanctions pécuniaires: les primes ne sont pas versées pour des motifs obscurs

Le salarié rend service et se fait hurler dessus

6 mois durant, il est obligé de travailler avec des chaussures de sécurité ouvertes en deux

Ses congés payés sont transformés en congés sans solde, et il est agressé verbalement à plusieurs reprises

Lorsqu’il veut prendre des congés, cela pose systématiquement problème, et il est pris à partie à chaque fois

Pendant toute cette période, le salarié a également du subir la privation de nourriture. Lorsque les dépannages se suivaient dans la journée il est arrivé à plusieurs reprises que l’on ne laisse même pas au salarié la possibilité de rentrer au réfectoire pour pouvoir s’alimenter. Il lui est donc arrivé plusieurs fois de devoir enchaîner les interventions et de travailler 7 ou 8 heures sans interruption, sans pouvoir prendre de pause, ni prendre son déjeuner qui se trouvait dans le réfrigérateur du réfectoire au garage. La réponse qui lui était donnée dans ces cas là était du type:

C’est urgent, le client attend.

Pendant toute cette période,le salarié effectue régulièrement des astreintes de dépannage durant la nuit après sa journée de travail. Malgré le fait qu’il soit amené à travailler la nuit parfois plusieurs heures entre 1H et 5H du matin par exemple, l’entreprise lui demande de venir reprendre une nouvelle journée de travail à 8h30 du matin le lendemain, sans lui donner le moindre repos compensateur.

Entre les agressions verbales trop nombreuses pour les compter, les pressions malsaines, les sanctions pécuniaires qui augmentent au fil du temps, un contexte de travail qui devient de plus en plus lourd car il est impossible de faire confiance à ce responsable malveillant, le salarié a fini par devenir totalement dégouté de la marque Mercedes-Benz qu’il appréciait autrefois. Dégouté de cette entreprise qui lui a fait subir un tel enfer. Dégouté de son propre métier qu’il n’envisage plus d’exercer.

Le salarié a alerté l’entreprise et la marque à plusieurs reprises, en n’obtenant pas de réponses ou des réponses totalement inappropriées: Signaler le harcèlement: la loi du silence, la mauvaise foi manifeste de Mercedes-Benz France alors que les faits sont tous décrits précisément, vérifiables, datés et documentés.

Ce qui a sauvé ce salarié de sombrer dans la dépression, c’est le fait qu’il soit un père de famille, ses enfants lui ont donné la volonté d’aller de l’avant et de se battre contre Mercedes-Benz France qui a voulu l’écraser. Aujourd’hui, je soutiens le salarié harcelé et je signe la pétition:

Le salarié victime de harcèlement souhaite conserver l’anonymat, mais Mercedes-Benz sait parfaitement qui il est. L’auteur des faits n’est volontairement pas nommé afin de lui éviter un « lynchage » sur les réseaux sociaux, mais Mercedes-Benz sait parfaitement qui il est.